Papier d’Arménie (son histoire, comment l’utiliser)
Pour quel usage ?
Cela fait plusieurs années que j’utilise le papier d’Arménie comme désodorisant d’intérieur. Il m’est notamment utile dans la pièce à vivre, après avoir cuisiné. Il permet de masquer les odeurs de friture, tabac et autres odeurs déplaisantes, par des senteurs aux accents de vanille et de benjoin.
Les origine du papier d’Arménie
Le papier d’Arménie puise ses origines dans la résine d’une plante appelée Styrax Benzoin. Au XIXème siècle, c’est un chimiste français qui, lors d’un voyage en Arménie, a découvert que le peuple arménien utilisait le benjoin comme parfum d’ambiance et en tant que désinfectant.
Son odeur est très prégnante, mais aussi – et c’est mon point de vue – très agréable. Elle masque efficacement les mauvaises odeurs.
Il est fabriqué à Montrouge, en France (région parisienne). Un bloc contient au total 36 feuilles, à raison de 3 feuilles par page.
Comment l’utiliser ?
La notice explique comment le faire brûler afin qu’il se consomme lentement, et soit ainsi le plus efficace possible. Comme je le montre en vidéo, il faut détacher une feuille, que l’on plie en accordéon. On brûle ensuite la tranche supérieure de cette feuille, puis on souffle dessus aussitôt pour éviter qu’elle ne se consume trop vite.
Mon avis sur le papier d’Arménie
J’apprécie les senteurs orientales qui se dégagent dans la pièce lorsque l’on allume une feuille de papier d’Arménie. J’apprécie également que cette odeur soit suffisamment prégnante pour parvenir à masquer les autres odeurs. Enfin, le coût est raisonnable puisque le lot de 3 carnets est vendu moins de 10 euros.
Climaxe